PUBLICITÉ

7 conseils pour éviter la déprime du dimanche soir

Mise à jour par Brigitte Bègue, journaliste santé le 19/12/2016 - 16h29
-A +A

Chaque dimanche, c’est pareil, la déprime vous envahit. Mollesse, mélancolie, anxiété, irritabilité... On estime que 50% de la population serait concernée par le blues du dimanche soir.

PUB

La déprime du dimanche soir : qu’est-ce que c’est ?

« La déprime du dimanche soir n’est pas une maladie, on y survit toujours ! précise d’emblée le psychiatre Florian Ferreri, auteur de « Vaincre le blues du dimanche soir » (Hachette). C’est plutôt un mal-être difficile à identifier car il est ponctuel et peu rationnel. En général, on n’en parle pas car on sait qu’il aura disparu le lundi ».

Les symptômes vont de la morosité au manque d’énergie en passant par l’irritabilité, l’agacement, les ruminations négatives, le vague à l’âme...

Petits et grands : tout le monde est concerné par la déprime du dimanche

Cette déprime passagère touche aussi bien les enfants que les adultes. Le blues concerne souvent les personnalités anxieuses, perfectionnistes, très investies dans leur métier et qui commencent à penser au travail qui les attend dès le dimanche. D’autres facteurs peuvent jouer sur leur moral comme la mauvaise météo ou le fait que tout est fermé. « Le calme du dimanche peut donner une sensation d’un vertige abyssal, d’un vide, pouvant être source de cafard », souligne le psychiatre. Il y a les personnes qui sont tristes le dimanche soir car les amis ou la famille qui étaient venus leur rendre visite sont partis. Et puis celles qui procrastinent tout le week-end et qui se retrouvent le moral en berne le dimanche après midi parce qu’elles ont toutes les « corvées » à faire.

Initialement publié par Brigitte Bègue, journaliste santé le 19/12/2016 - 16h29 et mis à jour par Brigitte Bègue, journaliste santé le 19/12/2016 - 16h29
Notez cet article
Vous devez être connecté à votre compte E-Santé afin de laisser un commentaire
PUBLICITÉ