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Accordons plus d'attention aux protéines

Publié par Nicolas Rousseau, diététicien nutritionniste le 01/03/2005 - 00h00
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Pas le poisson et le poulet

Toutes les protéines ne sont cependant pas équivalentes devant le risque de mortalité cardiovasculaire. Dans cette étude, le poisson et le poulet sont hors de cause, mais ne font pas baisser le risque.Les protéines végétales (haricots, noix, soja et dérivés, produits céréaliers…), par contre, font diminuer le risque cardiovasculaire de près de 30 % chez les femmes qui en consomment le plus par rapport à celle qui en consomment le moins.Une des pistes pour expliquer ce phénomène, non encore élucidé, a trait à la promotion directe de la formation de thromboses par les protéines animales. Ces protéines sont aussi plus souvent associées à des acides gras saturés, qui élèvent le mauvais cholestérol. Bref, il ne serait pas inutile de dompter nos instincts carnassiers…

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Publié par Nicolas Rousseau, diététicien nutritionniste le 01/03/2005 - 00h00
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