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A bicyclette ...

Publié par C. De Kock, journaliste santé le 02/09/2003 - 00h00
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Lésions cérébrales et traumatismes crâniens sont généralement la rancon des accidents et des chutes à vélo. Même si les casques de protection ne sont pas le nec plus ultra en la matière, leur port est plus que conseillé.

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En ces temps de Tour de France et de Beau Vélo de RAVeL, la pratique du vélo connaît son pic annuel, mais gare aux accidents ! Ceux-ci se soldent généralement par une chute sur la tête, parfois fatale au cycliste. Et ce ne sont pas nécessairement les fanas de la petite reine sportive qui sont les plus visés, les cyclistes bons pères de famille peuvent aussi faire une chute malencontreuse ! Les lésions cérébrales les plus fréquemment observées sont les fractures du crâne, les hémorragies et les contusions cérébrales, ainsi que les oedèmes cérébraux.

Pédalez casqué !

Pour être efficace, le casque de vélo devrait - idéalement - offrir une protection contre les chocs frontaux (front et visage), latéraux (tempes) et arrière (nuque et arrière de la tête). Il devrait aussi pouvoir résister à plusieurs impacts car, en cas de collision avec une auto par exemple, il n'est pas rare que la tête de la victime touche l'auto, puis le sol ou encore un mur ou un arbre. Les tempes sont très fragiles, pourtant, dans le commerce, seuls les casques destinés aux enfants protègent cette partie du crâne. Le casque de vélo devrait aussi pouvoir protéger la tête du cycliste des rotations violentes. Alors, même si les casques de vélo disponibles actuellement dans le commerce ne sont pas infaillibles et ne répondent pas ou incomplètement aux critères mentionnés ci-dessus, un cycliste casqué en vaut deux !

Publié par C. De Kock, journaliste santé le 02/09/2003 - 00h00 La lettre de la santé, n°125, juin 2003.
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