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Et si on faisait marcher sa tête avant de manger?

Publié par Paule Neyrat, Diététicienne le 02/09/2011 - 13h35
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Récompense et addiction

Alors quand on retourne chez le boulanger, même s'il n'y a pas d'odeurs tentantes de tarte aux pommes, on risque fort d'avoir une belle pulsion sur le chausson qui nous a tant fait plaisir la veille! 

Résultat: on s'y accoutume, on en a besoin, on en devient dépendant. A force d'en manger, on grossit car ils apportent des calories dont on n'a pas besoin. Et si l'on entreprend de maigrir, c'est quasiment impossible de s'en passer!

 

Gène, stress et environnement

Ce circuit de la récompense ne fonctionne pas de la même façon chez tout le monde. Certains y sont génétiquement plus sensibles, ils sont ainsi plus vulnérables.

Le stress joue aussi un rôle important: il favorise terriblement les pulsions car on a besoin de compenser, de se faire du bien, après une contrariété quelle qu'elle soit. 

 

Publié par Paule Neyrat, Diététicienne le 02/09/2011 - 13h35

Bradley M. Appelhans, Matthew C. Whited, Kristin L. Schneider, Sherry L. Pagoto. Time to Abandon the Notion of Personal Choice in Dietary Counseling for Obesity? Journal of the American Dietetic Association, 2011; 111 (8): 1130 DOI: 10.1016/j.jada.2011.05.014

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