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À quel degré êtes-vous perfectionniste?

Vouloir bien faire, c'est évidemment une qualité. Mais le mieux est l'ennemi du bien. Aussi vouloir trop bien faire peut se transformer en défaut, voire en handicap. Alors, entre le laisser-aller le plus total et le perfectionnisme paralysant, où vous situez-vous? Êtes-vous perfectionniste un peu? Beaucoup? A la folie? Pas du tout? Les résultats de ce test vont vous en dire plus sur vous, même si, au fond de vous-même, vous connaissez déjà peut-être un peu les réponses!

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  • Question 1 sur 101) Je me fixe un niveau d'excellence qui est presque impossible à atteindre pour un être humain normal.
  • Question 2 sur 102) Je vis personnellement plus d'expériences positives (de satisfaction, joie, plaisir ou estime de moi-même) que négatives (insatisfaction, anxiété, honte, culpabilité, peur de l'échec, estime de moi conditionnée à la performance, sensation de r
  • Question 3 sur 103) J'ai tendance à être pessimiste, à surestimer la probabilité de survenue d'événements négatifs:
  • Question 4 sur 104) J'ai une bonne estime de moi-même.
  • Question 5 sur 105) J'ai tendance à me perdre dans des détails et à perdre de vue l'essentiel.
  • Question 6 sur 106) Quand je fais des erreurs, je ne les percois pas comme des échecs ou des dévalorisations, mais comme des expériences source d'amélioration.
  • Question 7 sur 107) J'ai tendance à ressentir des impératifs sociaux (ex: il faut être parfait, je dois être parfait; il faut réussir...).
  • Question 8 sur 108) J'accepte facilement mes limites, mes imperfections, sans me sentir minable pour autant:
  • Question 9 sur 109) Je veux tellement bien faire que je manque toujours de temps.
  • Question 10 sur 1010) J'ai tendance à fonctionner dans le tout ou rien, le blanc ou noir, le bien ou mal, sans nuances.
Initialement publié par Dr Catherine Solano le 21/09/2009 - 00h00 et mis à jour par Dr Catherine Solano le 01/01/1970 - 01h00 Le perfectionnisme: Aspects conceptuels et cliniques. Christo Todorov, MD, MSc1, Andrée Bazinet, MD2; Rev can psychiatrie 1996;41:291—298.
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