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Lunettes : comment bien choisir ses verres correcteurs ?

Mise à jour par Marion Garteiser, journaliste santé le 09/11/2015 - 16h22
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Trois types de traitements

Ils peuvent se combiner, mais ils ne sont pas tous forcément utiles. À chacun de bien définir ses propres besoins.

Le traitement anti-rayures

Il ne s’adresse qu’aux verres organiques.

Adapté aux personnes qui ôtent et posent souvent leurs lunettes.

Le traitement antireflet 

Il élimine les reflets, rendant le verre invisible et plus confortable.

Recommandé pour les verres les plus minces.

Adapté aux personnes qui portent leurs lunettes toute la journée.

Les verres traités antireflets se salissent plus vite et peuvent donner des reflets mauves.

D’autres traitements peuvent être associés : antisalissure, antistatique.

Le traitement photochromique

Il rend le verre sensible à la lumière, lequel fonce au soleil, assurant une protection contre les UV et l’éblouissement.

Adapté aux personnes dont les yeux sont sensibles à la lumière.

Adapté aux environnements où la luminosité varie souvent (ce traitement dispense d’alterner deux types de lunettes). 

Les verres photochromiques foncent plus rapidement qu’ils ne s’éclaircissent.

Ils s’assombrissent moins bien en voiture en raison du traitement anti-UV du pare-brise.

Les verres solaires (teintés) sont plus performants.

Initialement publié par Isabelle Eustache, journaliste Santé le 04/11/2014 - 10h04 et mis à jour par Marion Garteiser, journaliste santé le 09/11/2015 - 16h22

Association nationale pour l’amélioration de la vue (Asnav), www.asnav.org.

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