Les chimiothérapies anti-cancer entraînent pour beaucoup de malades des effets secondaires importants et handicapants : faiblesse, fatigue intense, dépression... L'activité physique intensive peut diminuer les effets néfastes des chimiothérapies contre le cancer.
Les sportifs détiennent une des clés de la prévention en matière de cancer de la prostate . En effet, l'apparition et la progression de cette pathologie diminuent de 70% chez les hommes pratiquant plus de trois heures de sport par semaine !
Ce mois d'octobre est traditionnellement consacré à la lutte contre le cancer du sein . Et pour l'association Europa Donna, coalition européenne contre le cancer du sein, le message le plus important cette année est celui de l'importance de pratiquer une activité physique régulière.
La sédentarité ne pourvoit pas seulement les maladies cardiovasculaires et le diabète. Elle augmente aussi les risques de cancer. Pour preuve, l'activité physique réduit le nombre de tumeurs du sein et du côlon, dans des proportions non négligeables : 20% de cancer du côlon et de cancer du sein en m...
Le rôle bénéfique de l'activité physique contre le cancer du sein se confirme et s'étend même aux femmes dites " à risque ", comme celles ayant des antécédents familiaux par exemple. Quel type de sport pratiquer ? A quelle fréquence et à quelle intensité ? De nouvelles données répondent précisément...
L'activité physique diminue le risque de cancer du sein. Autre très bonne nouvelle : à tout âge, 30 minutes par jour, sans forcer, suffisent !
Avant (en prévention), pendant et après un cancer du sein , l’ activité physique est particulièrement recommandée aux femmes. Il est maintenant bien démontré que se bouger régulièrement est un atout pour réduire les risques de développer un cancer du sein . Et les preuves s’accumulent également en p...
La pratique d'un sport et l'activité physique ont-elles un effet préventif sur le cancer du sein et accélèrent-elles la guérison des patientes après opération ? Des études réalisées en Asie, en Europe et en Amérique fournissent des indications en ce sens.
Selon une étude britannique, la pratique d'une activité physique modérée ou intense chez l'homme d'âge moyen réduit le risque global de développer un cancer. En revanche, l'absence d'exercices sportifs ne serait pas associée à une augmentation du risque cancéreux.
Les connaissances sur l’ activité physique et les bienfaits d’une pratique régulière et soutenue ne sont pas immuables. La recherche avance et certains conseils sont parfois recadrés voire même remis en cause. La preuve en cinq exemples issus de la littérature scientifique la plus récente.