PUBLICITÉ

Enfant “à haut potentiel”, enfant précoce : une autre manière de fonctionner

Mise à jour par Aude Dion, journaliste santé le 17/08/2012 - 11h32
-A +A

PUB

Des enfants dont le QI est égal ou supérieur à 125

Les enfants ditsà haut potentiel” (HP) se distingueraient dans les variantes “logico-mathématiques”, c’est-à-dire la capacité à calculer, à mesurer, à faire preuve de logique dans la résolution de problèmes mathématiques ou scientifiques. Mais aussi dans les capacités “verbo-linguistiques” qui concerne le maniement des mots et du langage.

Ce sont précisément ces deux formes d’intelligence que le QI (quotient intellectuel) permet d’évaluer. Cet outil sert à comparer le fonctionnement intellectuel d’un adulte ou d’un enfant par rapport à une personne du même âge.

Les enfants à haut potentiel ont un QI égal ou supérieur à 125.
Leurs autres formes d’intelligence peuvent être tout à fait normales, voire déficitaires.

 

Enfants HP : des caractéristiques comportementales spécifiques

L’évaluation du QI n’est cependant pas suffisante pour établir la haute potentialité.

Les enfants “à haut potentiel” (HP) présentent en effet également des caractéristiques spécifiques au niveau comportemental.
Quelques exemples :

  • Ils font généralement preuve d’une grande curiosité.
    En outre, à l’instar du petit Matteo et de ses dinosaures, il n’est pas rare que les enfants HP aient des centres d’intérêt particuliers.
    Ils ont alors parfois tendance à ne s’intéresser qu’à ce sujet “coup de coeur” et à l’approfondir tant et plus.

  • Paradoxalement, près de la moitié d’entre eux sont en décrochage scolaire.
    Ces enfants qui ont souvent réussi sans trop d’effort en primaire peuvent avoir des lacunes au niveau de leur méthode de travail, ce qui est susceptible de poser problème à partir d’un certain degré de scolarité.

  •  Les enfants HP présentent souvent une sensibilité exacerbée.
    Il arrive aussi qu’ils éprouvent des difficultés relationnelles avec les autres enfants de leur âge. Ils se sentent parfois incompris et peuvent avoir tendance à préférer la compagnie d’enfants plus âgés ou d’adultes.

Initialement publié par Aude Dion, journaliste santé le 20/08/2012 - 00h00 et mis à jour par Aude Dion, journaliste santé le 17/08/2012 - 11h32

Mme Cathy Rechowicz, responsable de l’ASBL “Pour vivre autrement”.

Notez cet article
Vous devez être connecté à votre compte E-Santé afin de laisser un commentaire
MarcoRama

<"coordonnées supprimées par le modérateur"> se présente faussement comme docteur en psychologie. Elle profite du fait d être entourée de psy dans son centre. Pour induire les patients en erreur. Elle n est pas psychologue. Et pas inscrite à la commission des psychologues de Belgique. Mais le titre de thérapeute n est pas protégé ce qui permet tout et n importe quoi. Elle est thérapeute donc et non pas psychologue clinicienne. La nuance est de taille, si elle est dissimulée volontairement.

sdfqq

Quelles solutions pour les "enfants HP" aujourd'hui adultes ?
Je parle de ceux qui étaient et sont toujours en souffrance... rien de mieux comme perspectives qu'un psy-qq-chose ?... qui la plupart du temps sont dans l'ignorance totale de cette particularité

PUBLICITÉ